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Mes poèmes 2
13/01/2009 19:06

dans l'absurdité humaine du vie qui s'engouffre je sens sous mes pas, le vide, un gouffre, dans la superficialité de ses inconus qui me jugent, je me sens seule, perdu, et de leure haines je me purge,
dans l'echo inaudible de la vie réelle, je me sens inexistante et virtuelle, Sur la facade de mon ecran glacé, je cherche un moyen de m'évadé, de voyager...
dans mon coeur glacé de solitude, j'essaye de trompé l'habitude, detruire l'erance et l'ennuie par des mots et de la poesie,
dans l'incertude d'un eventuel avenir, j'ecris mon présent, sans refflechir, dans l'inevitable mort qui approche, je me voit de plus en plus proche.
j'ai de moins en moins de mots, pour d'ecrire la dureté de mes maux, de moins en moins d'envies, pour franchir les frontières de la vie

Je cherche l'ombre L'ombre d'un homme Le réverbère dans l'obscurité de mes nuits Caché au fond d'un puit Le regard aux larmes de l'infini Les yeux à la clairière Une âme suspendue aux branches de la vie Il nous faut voir les choses différemment Avec les yeux à l'enfance perdue Comme Adam et Ève Le fruit est défendu en la forêt des mal-aimés Je saurai touchée ton ombre en lambeaux Pour enfin éclairé l'intempérie de nos nuits J'irai armée jusqu'aux flammes de l'enfer Je parlerai à ton ombre pour taire sa peur de fugitif Je l'a ratrapperai pour t'aimer T'aimer malgré les ombres de la vie

Je crie… De peur que le corps ne subisse Les vendanges de l'automne, Je crie aux creux des hivers Aux lieux-dits, à l'univers. Je crie la mise en garde Des grandes déraisons Pour que l'amour survienne Solide et bien pourvu Des attraits de la joie. Je crie… Au bonheur des distances A parcourir pour approcher L'abondance de l'espoir A chaque pas nouveau La certitude de demain Et des longs souvenirs. Je crie… Image par image, Rosée lisse sur ton visage L'âme coulant sur ta peau Avec au c,,ur le ciel La volupté d'un vol… Qui ne sait d'où il vient Mais découvre l'horizon !!!

Le visage du malheur C'est le nuage inattendu Qui se déchire juste au-dessus de soi Ce sont les bras tendus De l'arbre mort dans la forêt vivante Le noir profil sur le ciel bleu De folies accablantes
Le visage du malheur C'est la douleur menaçante L'implosion du moi L'âme à son point de rupture
Le visage du malheur C'est la rue sans issue Le tunnel sans fin L'indomptable brûlure Ton absence dans la nuit Nos espoirs qui s'envolent Et dans le silence du soir L'angoisse qui revient

Dans un atelier poussiéreux Par de fines particules D'un cailloux trop poreux, …Pas le moindre tumulte. Dans son atelier encombré D'ombres d'images cultes Dessins inachevés …des lignes forment une insulte. Rodin sait bien, qu'avec ses mains Il réinvente demain. Rodin sait bien, les nuits sans faim Les bruits sourds du burin. Rodin sait bien, le bronze éteint De l'homme au féminin.
C'est un atelier souvenir D'une enfance trop adulte D'une révolte à venir …D'une école qui inculpe C'est un atelier pour bannir Leur marbre froid qui brûle Leurs musées leur empire, …Lui ne pense pas il sculpte. Rodin sait tout, des ventres mous Des dessus des dessous. Rodin sait tout, du long des cous Ses outils creusent en nous. Rodin sait tout, le sang qui bout De l'homme devenu fou.
C'est un atelier et Camille L'infinie aventure Le Penseur qui vacille …Une passion le fissure. C'est un atelier sans Camille L'infinie déchirure Le Baiser se fendille … La douleur et l'obscur. Rodin n'sait pas, ces choses là Son c,,ur ignore les lois. Rodin n'sait pas, le mal parfois Qu'il peut faire de ses doigts. Rodin n'sait pas, il suit sa voie Où d'autres corps naissent déjà.
(…)
Reste un atelier en poussière Quelques troncs quelques muscles Un poème de Baudelaire …L'esquisse jaunie d'une muse. Reste de l'amitié d'un Whistler D'un Monet d'un Cézanne L'art révolutionnaire …D'un vin frais sur la table. Rodin le sait, ne pas céder Aux Bourgeois de Calais. Rodin le sait, le trait gommé De L'Homme au Nez Cassé Rodin se tait, Rodin le sait Qu'en lui une femme est passée. (…) Qu'en lui une femme est passée.

Tu es mon oxygène, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaînes, L'indispensable qui coule dans mes veines.
Tu es l'objet de mon existence, L'Ange pur de l'innocence, Mon Etoile de bienveillance, Plus qu'un espoir et plus qu'une chance.
Tu es ma mélodie, La douceur de mes nuits, Les couleurs de ma vie, Le bonheur à l'infini.

Ne dis pas au temps qui passe Que ma vie est une impasse Que sur moi il laisse des traces Mais va dire à l'instant Que je l'aime en souriant
Ne dis pas au temps qui passe Que son rythme n'est pas rapide Que malgré cela, il laisse des rides Mais va dire à l'instant Que toujours je l'attends
Ne dis pas au temps qui passe Que sur mon visage il y a une larme Qu'il mêle trop les joies et les drames Mais va dire à l'instant Que je le cueille comme un printemps
Ne dis pas au temps qui passe Que sur moi pèse son poids Que je lutte pour garder ma foi Mais vas dire à l'instant Qu'il est précieux comme un diamant
Ne dis pas au temps qui passe Que parfois devant lui je m'efface Et ma peur de perdre la face Mais va dire à l'instant Que je l'aime éperdument
Vas dire à l'instant Que l'avenir reste grand Va dire à l'instant Que demain reflètera le présent...

C'est une fleur, elle pousse dans un jardin de Florence Une fleur, elle s'ouvre si la lune est noire. Un mystère envoûtant pour un homme, Un goût vert et piquant au goût de pomme, C'est une fleur, semée au plus profond de mes sens, Une fleur qui se ferme quand je refuse de la voir.
C'est une brume, elle dépose son voile sur Florence Une brume, on la trouve si la lune est noire Une citadelle au pied de son étang Un goût sucré de miel un goût de sang C'est un donjon, dressé au plus profond de mes sens Une brume qui m'enferme quand je refuse de la croire.
C'est une larme, elle coule d'une fontaine de Florence Une larme, elle lui vient si la lune est noire Une danse soumise à mes émotions Un goût d'envie des points de suspension C'est une lame, plantée au plus profond de mes sens Une larme qui se perd quand je refuse de la boire.
C'est une femme, elle est née tout prés de Florence Une femme, elle ne vit que si la lune est noire Un face à face, un passage entre deux mondes Un goût de victoire quand nos corps s'inondent C'est une femme, aimée au plus profond de mes sens Une femme, une fleur rare, une rose noire.

Un regard vers l'autre
Un regard même... s'il se fait tard !
Depuis un moment je trouve un instant chaque soir
Pour voir ou revoir les mots et percevoir les bleus à l'âme
Que de plaisir à parcourir des rimes chantant le bonheur !
Mais souvent un cri couvert par des vers annonciateurs
On ne peut dire ...alors on s'exclame
Par ces vers pas toujours à l'envers on réclame...
Une simple attention mais aussi du réconfort virtuel
De nos jours c'est naturel
Poètes vous avez du talent
Aussi cela se fête......même si le regard reste dans l'ombre
On peut faire le tour du monde!!!!!
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